Les pins de la forêt landaise

La tempête dans le sud-ouest de la France a fait la une des journaux ces derniers jours. Les images désolantes de tout ce qui a été emporté et arraché sont dans les esprits. Et alors que l'électricité est en train d'être rétablie dans les nombreux endroits qui en sont encore privés, les sylviculteurs s'inquiètent déjà pour l'avenir de la filière bois dans leur région.

Michel Barnier, le Ministre de l'Agriculture, a annoncé qu'il allait proposer un Plan global en faveur des forêts et de la valorisation du bois comme source d'énergie. Le syndicat des sylviculteurs du sud-ouest a estimé que les forêts avaient été dévastées à 60% par endroit : coup dur alors que la filière peine encore à se remettre de 1999.

Le Plan global permettrait : de reconstituer le patrimoine forestier, de récupérer les bois abattus, et de les valoriser. Souhaitons donc que la filière bois française se mobilise de bonne manière pour privilégier les solutions durables, et que la valorisation du bois contribue à l'intégration des pratiques vertes dans la vie quotidienne. Prenons soin de nos arbres !

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Mesurer CO2 et méthane : la nouvelle mission des satellites

Le 23 janvier, une fusée japonaise a mis en orbite un satellite chargé de : « regarder la Terre respirer ». En effet, dans le cadre d'études sur les évolutions environnementales, des scientifiques veulent examiner de plus près la production des gaz à effet de serre, ainsi que les quantités de ces gaz réellement absorbées par les forêts et les océans. Pour l'instant, de grandes partie de la planète n'étaient quasiment pas contrôlées (notamment les océans, l'Afrique, le Proche-Orient ou encore l'Amérique du Sud).

Il faut savoir que ces recherches seront aussi cruciales pour l'élaboration du cadre prévu pour succéder en 2013 au protocole de Kyoto. Une diminution de moitié, d'ici à 2050, des émissions de gaz à effet de serre a été évoquée en décembre 2008 à Poznan, en Pologne, lors d'une conférence des Nations unies sur les changements climatiques. Avec le satellite Ibuki, tel est son nom, les scientifiques espèrent évaluer plus précisément les besoins de réduction.

JO d'hiver 2018 : la neige française au coeur de brûlants enjeux

On ne saura pas avant 2011 où seront organisés les Jeux Olympiques d'hiver 2018. En attendant la fin du suspens, la compétition fait rage. Les candidats rassemblent les soutiens et les arguments convaincants pour défendre leur dossier. Pour des raisons économiques, certains pays ont renoncé à se présenter. En revanche, trois pays semblent extrêmement intéressés : l'Allemagne, la France et la Corée du Sud.

La France a officiellement annoncé sa candidature la semaine dernière. Reste à définir quelle ville française accueillera cet événement sportif d'envergure. Le choix risque d'être difficile puisqu'il y a 4 municipalités candidates : Annecy, Grenoble, Nice et Pelvoux (Alpes du Sud). Annecy est la première à s'être déclarée puisqu'elle ambitionnait déjà d'être ville organisatrice en 2014. Grenoble a déjà accueilli les JO en 1968 et veut tabler sur ce passé pour rafler la mise. Nice présente un profil similaire à Vancouver et Sotchi, les deux dernières élues pour 2010 et 2014, à savoir une station balnéaire adossée à un massif montagneux.

Les quatre projets ont quelques petits mois pour séduire le Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF). Les quatre concurrentes doivent répondre au lourd cahier des charges puis, après examen approfondi, le CNOSF tranchera. L'étape suivante sera la remise de la candidature française au CIO, qui peut les recevoir jusqu'en octobre 2009.

Les associations environnementales ont souhaité d'ores et déjà attirer l'attention des acteurs concernés sur la nécessité de prévoir des jeux durables (c'est-à-dire avec un bilan carbone modeste, des infrastructures adaptées qui puissent bénéficier à la région après, une bonne gestion des déchets, etc.). Mountain Riders, une des associations soutenues par Greenweez, qui est à l'origine de plusieurs éco -guides pour un traitement responsable de la montagne, propose d'avoir des JO éco-conçus. Pour en savoir plus sur leur démarche, n'hésitez pas à aller voir leur site !

Des biberons sans bisphénol pour préserver la santé des tout-petits

Le Bisphénol A est un composé chimique, fréquemment utilisé pour la production de plastiques (plastiques nécessaires à la fabrication de nombreux objets du quotidien notamment les biberons). L'industrie du plastique affirme que le bisphénol A est sans danger pour l'homme, minimisant les tests scientifiques prouvant que ce matériau contient des matières toxiques, agissant sur le système hormonal. Pourtant, le doute n'est plus possible depuis avril 2008, puisque l'office public de santé du Canada, a classé le bisphénol A au rang de substance dangereuse.

En réaction, des entreprises écologiques se sont mobilisées pour concevoir des biberons sans bisphénol. Soucieux d'offrir à nos clients de tels biberons qui n'auront pas d'effets négatifs sur la santé des bébés, Greenweez a choisi la marque « Green to Grow » comme fournisseur. Des modèles écologiques, de grande qualité, sans substance nocive, avec un design coloré et gai, vous sont ainsi proposés.

Rendez-vous dans la catégorie enfant du site pour avoir plus de détails sur la gamme de produits « Green to Grow » présentés

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Obama face aux espérances vertes

Le nouveau Président américain a pris ses fonctions cette semaine dans un climat d'impatience et d'enthousiasme, son élection ayant suscité une vague d'espoir tout autour de la planète. La tâche s'annonce lourde puisqu'il va devoir gérer de multiples priorités d'importance.

Outre la crise économique qui frappe durement le pays depuis l'automne, outre la guerre en Irak, Barack Obama est très attendu sur les questions liées à l'environnement. De ce point de vue, les citoyens ayant une conscience verte ont été rassurés de l'entendre dire dans son discours d'investiture : « chaque jour apporte de nouvelles preuves que la façon dont nous utilisons l'énergie (...) menace notre planète. »

Une telle déclaration est encourageante après des années d'immobilisme et d'aggravation de la situation environnementale. Il se positionne dès le départ aux antipodes de l'administration Bush, qui a longtemps nié les effets dévastateurs du changement climatique et qui a toujours refusé de prendre des mesures conduisant à une baisse des émissions de CO2. Obama a fait savoir que les Etats-Unis signeraient le protocole de Kyoto et qu'ils s'engageraient dans un vaste plan de diversification des sources d'énergie (solaire, éoliennes, etc).

En attendant que ce discours soit traduit en acte, il appartient à chacun de contribuer à sa mesure à la protection de la nature. Pourquoi pas commencer, tout en douceur, en achetant des produits écologiques et intelligents sur www.greenweez.com ?

Froid et économies d'énergie

Les alertes à la pollution atmosphérique se multiplient ces jours-ci. Très peu de régions sont épargnées : dioxyde d'azote, particules fines,... L'air que nous respirons en ce moment est non seulement froid, mais également irritant pour nos voies respiratoires et nos poumons.

Le froid est une cause indirecte. Ce qui provoque ces pics de pollution, c'est plutôt notre consommation d'énergie. Le chauffage et les voitures en premier lieu.

Alors même si un redoux est prévu côté météo, adoptons quelques réflexes pour faire baisser dès aujourd'hui la pollution atmosphérique. par exemple :
- baisser le chauffage d'un lieu lorsque l'on n'y est pas (avant de partir au bureau par exemple, pensez à baisser les radiateurs)
- isoler les portes : une serviette de toilette fera l'affaire si vous n'avez pas de "boudins de porte"
- éteindre la lumière des pièces inoccupées
- prendre les transports en commun (surtout si votre véhicule roule au diesel)
- éteindre les appareils électriques en veille
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Sur www.greenweez.com, vous trouverez aussi des produits pour diminuer durablement votre consommation d'électricité : ampoules à économie d'énergie, "eco button" pour la mise en veille de l'ordinateur, chargeurs solaires ou éoliens,... Un petit coup d'oeil dans la catégorie Energie vous aidera à faire votre choix !

La Forêt Google

La technologie au service de la nature... C'est une histoire assez incroyable que cette forêt découverte grâce au logiciel Google Earth, qui lui a valu le surnom de "Google Forest".

Des scientifiques britanniques du Royal Botanic Garden de Kew cherchaient à délimiter une zone de conservation et de protection de la nature au Mozambique, dans le cadre d'un projet Darwin. En utilisant le logiciel Google Earth, ils se rendent compte qu'une zone de 80 km2 est colorée différemment (Google Earth permet de suivre l'évolution de la surface forestière entre 1990 et 2005 grâce à des niveaux de couleur).
Quelques études satellites plus tard, ils en ont la certitude, cette zone située sur les contreforts du mont Mabu, lui-même découvert par les scientifiques en 2005, est inexplorée jusqu'alors ! A cause de la guerre civile qui a sévi dans ce pays pendant de longues années, les populations humaines ont déserté l'endroit.

Une expédition s'est alors rendue sur place pendant deux mois, et, fait exceptionnel à notre époque, ont pu décrire plus d'une centaine d'espèces nouvelles : singes, antilopes, serpents, oiseaux, papillons,... Sans compter sans les richesses végétales.
Seule ombre au tableau : les scientifiques craignent que ce nouvel eldorado naturel attise les convoitises de personnes malveillantes. Il devrait être protégé de manière officielle très rapidement, mais cela va-t-il être suffisant ?

La bonne nouvelle, c'est qu'il reste encore des zones vierges sur notre belle planète. Nous parlions récemment des "cadeaux de la biodiversité". Apparemment, elle en a encore en stock !

crédit photo : Julian Bayliss